Mal de terre

Pas assez de bleu, de houle, d’infini, de langoureux ronronnement, trop de verdoyante végétation, de chant d’oiseaux, de rires d’enfants, d’attaques de moustiques, de communication, de vitesse de déplacement…

Complexité de la situation : Pas de pallier de décompression.

C’est certainement ça le mal de terre…