réalisé avec Hassan, rencontré à Nantes en 2016. Nous nous enseignions réciproquement l’arabe et le français. Ces échanges se traduiront par la lecture d’un texte paru dans Apulée – Galaxies identitaires #1 « Fragments d’octobre » de Mohammed Idali, calligraphe et poète traduit par Touria Ikbal.
Le kamal est un outil de navigation dans le désert et sur l’eau, constitué d’une cordelettes à noeuds et d’une planchette de bois, que l’on tient entre les dents. (…) Il pourrait ressembler à une sorte de jeu de ficelles.