Il y a les lignes imaginaires que l’homme a créé pour quadriller l’espace. Elles sont rectilignes, perpendiculaires, et forment un maillage un peu trop étriqué.
Et puis il y a les lignes que nous offre l’expérience, celles qui traversent l’espace vécu en zigzagant. Elles ne suivent aucun référentiel.
Quand l’océan change de couleur sans raisons apparentes, une nouvelle couture se dessine au point de croix.