Des corps lascifs contre les murs, combinés par paire, caressent la périphérie de l’espace.
Pile contre face au regard de tous, les yeux poignardent le vide habité par le son.
Ici l’espace est exploité dans sa totalité, les recoins deviennent arme blanche pour mieux chauffer la piste de danse.
Le ‘daggering’ est une érection visant à sabrer l’interstice charnel laissé vacant.